“La connaissance de la vie sexuelle du fameux Mahomet, autoproclamé dernier prophète, ne peut susciter que le dégoût. Entre autres monstruosités avérées, que nul ne peut contester:
- il a "consommé" Aïcha alors que celle-ci avait 9 (NEUF) ans...
- il a cocufié son fils (adoptif, il est vrai...) car ce vieux cochon lubrique n'avait pas pu résister à l'envie de sauter l'épouse de celui-ci... Evidemment, Dieu (pardon, Allah) a comme toujours fort opportunément arrangé l'affaire, et a même couvert (sic!) Mahomet qui faisait preuve d'une impatience fébrile.
- il a fait exécuter le mari d'une jolie femme qu'il désirait ardemment: la tranquillité n'a pas de prix... Bref, en résumé, on peut dire de ce triste personnage, probablement un des plus malfaisants que la Terre ait jamais porté, qu'après s'être tenu coi avec sa première épouse (qui sans doute lui était bien supérieure) , il s'est livré, dès la disparition de celle-ci, et très probablement sous l'emprise d'une schizophrénie marquée, au stupre et à la fornication tout azimuth.
De nos jours, Dieu (pardon, Allah) merci, de tels gourous se retrouvent tôt ou tard en prison ou en hôpital psychiatrique. En ce sens, Mahomet avait quand même raison d'estimer être le dernier prophète...“
(cité d’après http://www.contrelislam.org/livredor/tome27.htm) |