(Deuxième partie de mon intervention)
Les mécanismes de base de l'antigravitation.
Autant que j'ai pu en juger, l'antigravitation est basée sur la mécanique relativiste e tpas la mécanique Newtonienne.
En mécanique Newtonienne la masse est une propriété fixe d'un objet, rien ne peux la faire varier (au contraire de sa vitesse). Toute la physique Newtonienne découle de la dérivation de la quantité de mouvement m*v (m: masse, v: vitesse) - la masse étant fixe on se retrouve avec F=m*a.
En mécanique relativiste la masse est une propriété pouvant varier (plus précisément ce qu'on appelle la masse inertielle), et même devenir négative, nulle ou infinie selon la vitesse de déplacement. Cependant ces phénomène ne sont sensible (ou observable ) que pour des vitesses très importantes. C'est là qu'interviennent le sphénomène rotatif et vibratoire qui ont été mis en évidence avec génie sur le site de transfert-tech. Les vibrations permettent, sur de très coutres distances et période de temps, d'obtenir des vitesses élevées à faible coût. La même chose est vraie dans une moindre mesure avec les mouvements rotatifs.
Bien sûr cet exposé est une vulgarisation "grand public" et très trsè soimmaire d'une science infiniment complexe, cependant j'ai à ma disposition les équations complètes qui prouvent cette théorie. La vitesse de rotation, la forme des rotor, la fréquence de vibration, la polarisation magnétique, les alliages à utiliser ont fait l'objet de recherches systématiques qui, à mon avis n'ont pas encore totalement abouti. Cependant deux prototypes ont, comme je l'ai indiqué précédemment, été construit et ont réalisé un vol d'essai dans les Landes en 1999. Le sort de ces prototype m'est inconnu, mais je pense que d'autres essais ont été réalisés depuis. J'encourage toute personne qui en saurait plus à venir se confier ici!  |
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